46 - LA FIN DU PAPIER
Bonjour
Un sacré moment faute de temps que je ne m’étais plus exprimé sur la partie blog de mes sites.
Les ventes versions papiers sont en chutes libres , quasiment plus de vente , par contre des dizaines de mails venus du monde entier me réclame depuis 2 ans maintenant des versions numériques de comics inédits a télécharger en versions payantes ou gratuites.
Pour moi qui suit un inconditionnel papier et bien j'avoue que ça m'a surpris, j'ai une tablette de 10 pouces et j'ai mis dessus quelques titres pour lire en déplacement et dans mon lit , et bien c'est agréable, plus de doigts sales en tournant les pages , en plus autre avantage si je n'ai pas lu jusqu'au bout la fois suivante reprise a la page où je m'étais arrêtée , et aucune fatigue visuelle.
Donc pour vous j'ai traduis pas mal de récits inédits en France souvent tombés dans le domaine public et d'autres offerts ou achetés
a des productions étrangères, donc comprenez que pour les payants il faut bien que je le fasse car en moyenne une histoire me demande entre 50 a 70 h de travail (Scans, nettoyage, vidage des bulles, traduction et mise en page) et ça commence a se vendre j’ai commencé en décembre 2019,
car moi aussi j'ai besoin de manger comme tout en chacun, sachant que ma pension ne m'autorise qu'un repas par jour, donc toute peine mérite salaire tel que le dicton le dit.
DONC VOIR MES SITES AGENTS TONNERRE ET BDGARTHCOMICS VERSION FRANCAISE ET VERSION ANGLAISE DANS ONGLETS VENTE NUMERIQUE OU "DIGITAL SALES" ,
2 critiques
Pour finir sur ce sujet, La bande dessinée et le Comic est devenu, par le prix et par l'étendue de certaines collections, élitiste. N'achète pas qui veut, mais qui peut. Et la carence des achats provoque une carence dans la distribution. Rien ne garantit qu'on puisse suivre une collection sans avoir des problèmes pour en trouver les numéros à l'achat. Je ne compte pas le nombre de BDs ou Comics à suivre que j'ai été obligé de commander sur des sites parce qu'introuvables en magasins ou librairies. Autant dire que cela peut briser plus d'un rêve de posséder du papier, et pousser à trouver d'autres supports de lecture et donc d'acquisitions des titres qui nous font défaut.
Après, il faut ajouter à la discussion un discours écologique. Au jour d'aujourd'hui, quelle génération sera encline à promouvoir le papier quand des forêts brûlent partout dans le monde.
Tôt ou tard, le papier ne sera plus ! C'est une des raisons pour laquelle je soutiendrait toujours votre action de scanner et partager vos possessions. C'est un sauvetage d'un patrimoine qui ne sera plus dans quelques centaines d'années, une mise en lumière de ce qui nous a façonné dans notre enfance et notre adolescence, c'est autant de prismes sur le monde dans lequel on a évolué, qu'on a transfiguré, qu'on a fantasmé. C'est autant de passages de témoins livrés pars des auteurs, des artistes, qui, pour beaucoup d'entre-eux, resteront à jamais que des petites mains anonymes d'oeuvres parfois conséquentes et remarquables.
Après, il faut ajouter à la discussion un discours écologique. Au jour d'aujourd'hui, quelle génération sera encline à promouvoir le papier quand des forêts brûlent partout dans le monde.
Tôt ou tard, le papier ne sera plus ! C'est une des raisons pour laquelle je soutiendrait toujours votre action de scanner et partager vos possessions. C'est un sauvetage d'un patrimoine qui ne sera plus dans quelques centaines d'années, une mise en lumière de ce qui nous a façonné dans notre enfance et notre adolescence, c'est autant de prismes sur le monde dans lequel on a évolué, qu'on a transfiguré, qu'on a fantasmé. C'est autant de passages de témoins livrés pars des auteurs, des artistes, qui, pour beaucoup d'entre-eux, resteront à jamais que des petites mains anonymes d'oeuvres parfois conséquentes et remarquables.
Salut,
Je pense qu'attribuer la baisse des ventes papiers au fait que certains préfèrent les télécharger et les avoir en numériques, ne reflète pas une réalité mais n'en ai qu'un aspect (le nombre de titres parus chaque année prouve le contraire) . Le fait est que les jeunes d'aujourd'hui lisent beaucoup moins que nos générations, d'une part parce qu'il y a un désintéressement du support papier pour la mise en avant du numérique ou du télévisuel, et d'autres part, parce qu'il y a un déficit dans la lecture en général, et je le constate même dans certains jeux ou quand il s'agit de lire pour avancer dans un jeu, cela en rebute plus d'un.
je revendique le fait de télécharger (je télécharge même beaucoup trop), mais en parallèle, ma collection de comics et de BDs papier n'a jamais été aussi imposante. Télécharger, cela me permet de cibler mes achats, parce qu'il y a ce qu'on aime lire, et ce qu'on veut réellement posséder. Et je ne me trompe pas en disant qu'un vrai collectionneur aura toujours une partie papier de ce qu'il convoite, le numérique lui permettant surtout de combler des trous dans ses collections. Là où le bâts blaisse, c'est concernant les PFs et certains RC, dont la publication s'est arrêtée nette dans les années 60-90 pour la majorité. Là, pas le choix, on est obligé de passer par le téléchargement pour posséder une part du Graal. Surtout quand, comme dans ma région, les trois-quarts des bouquinistes ont fermé boutiques, et ne proposent guère de petis formats.
Je pense qu'attribuer la baisse des ventes papiers au fait que certains préfèrent les télécharger et les avoir en numériques, ne reflète pas une réalité mais n'en ai qu'un aspect (le nombre de titres parus chaque année prouve le contraire) . Le fait est que les jeunes d'aujourd'hui lisent beaucoup moins que nos générations, d'une part parce qu'il y a un désintéressement du support papier pour la mise en avant du numérique ou du télévisuel, et d'autres part, parce qu'il y a un déficit dans la lecture en général, et je le constate même dans certains jeux ou quand il s'agit de lire pour avancer dans un jeu, cela en rebute plus d'un.
je revendique le fait de télécharger (je télécharge même beaucoup trop), mais en parallèle, ma collection de comics et de BDs papier n'a jamais été aussi imposante. Télécharger, cela me permet de cibler mes achats, parce qu'il y a ce qu'on aime lire, et ce qu'on veut réellement posséder. Et je ne me trompe pas en disant qu'un vrai collectionneur aura toujours une partie papier de ce qu'il convoite, le numérique lui permettant surtout de combler des trous dans ses collections. Là où le bâts blaisse, c'est concernant les PFs et certains RC, dont la publication s'est arrêtée nette dans les années 60-90 pour la majorité. Là, pas le choix, on est obligé de passer par le téléchargement pour posséder une part du Graal. Surtout quand, comme dans ma région, les trois-quarts des bouquinistes ont fermé boutiques, et ne proposent guère de petis formats.